L’Economie du Spectacle Vivant*
Théátre, danse, opéra, mais également variété, one man show, performance, cirque, arts de la rué… Si la délimitation du spectacle vivant ne va pas de soi, le terme « économie du spectacle » n’est pas moins complexe. II désigne des réalités diverses : superproductions budgétivores de certains festivals ou de théátres natio- naux déficitaires, productions équilibrées de théátres privés, comptes frágiles de petites salles accueillant des artistes amateurs… Comment alors dégager un modéle économique propre au spectacle vivant ?
Cet ouvrage, en dressant un panorama historique et théorique de l’économie du spectacle vivant, décrit les spécificités de ses modes de financement comme de son marché de l’emploi, avec une atten- tion particuliére pour la logique de l’in- termittence. II dévoile un modéle qui associe, d’une maniere inédite, interven- tionnisme et ultralibéralisme.